C’est un site relativement préservé du tourisme. Peu de touristes viennent ici. Quoiqu’il y en a déjà peut-être trop. (50 000 par an)
le commun de byron bay n’a que 5000 habitants. (Si vous voulez en avoir plus.)
Beaucoup d’Asiatique, et d’Australien viennent ici. Du moins à ce que j’ai pu voir sur le livre d’or. Les autres nationalités se comptent au compte-goutte. (Pas de français, en même temps les Français reste généralement au tour des grandes villes connues)
comme d’habitude en Australienne, ils ont construit une route pour y accède. Car l’Australien n’aime pas marcher.
En général sur les sentiers qui longe la côte, on ne trouve jamais d’Australien, juste des étrangers qu’ils veulent se promener dans ses lieux, mais hélas certains ne respectent pas les panneaux qui interdisent l’accès hors du sentier.
Alors la nature et dénaturé. (Plus de végétation)
ici plus qu’à n’importe quel endroit où je suis allé, le pacifique et impressionnant pourtant il n’y avait pas de vent.
Le phare en lui-même est peint en blanc comme tous ce de la galle du sud.
Il y a une chose qui le démarque des autres s’est qu’il est le plus l’est de l’Australie, s’est sans doute pour cette raison, qu’il a du tourisme comme si un point sur une carte fessait de lui quelque chose d’important.
La côte en elle-même est très accidentée et assez montagneuse.
Ce qui donne un certain charme.
Mais si vous voulaient plus d’indications sur le phare, je vous renvoie sur ce site. (En anglais, je n’ai rien trouvé d’intéressant en français).
Le prochain poste sera sur un petit bijou australien et en plus il n’y a personne.
phare :
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